Samedi 17 janvier à 16h (en diptyque avec Crocodile OPA : 19h30)
Dimanche 18 janvier à 19h30 (en diptyque avec Crocodile OPA : 16h)
Mercredi 21 janvier à 20h30
Jeudi 22 janvier à 15h
Vendredi 23 janvier à 20h30
Samedi 24 janvier à 19h30
Café à écrire le jeudi 22 janvier à 19h
Restitution atelier d’écriture le samedi 24 janvier à 20h
Auteur en scène : François Chaffin.
Dramaturgie, recherches textuelles : Jean-François Patricola.
Assistantes mise en scène : Isabelle Picard et Aurélie Chesné.
Jeu et chant : Serge Barbagallo, Thierry Barthe, Céline Liger, Violaine de Carné, Virginie Peres.
Créations sonores et régie façade : Groupe Appât 203, Olivier Métayer et Nicolas Verger
Architecture sonore et instrumentation : Bernard Garabédian.
Images vidéo : Murielle Félix.
Costumes, accoutrements, textiles : Bruno Jouvet.
Création lumière, régies en scène : Isabelle Picard et F. Chaffin.
Fabrication, transformation, accessoires : Jean-Yves Perruchon.
Complicité encore et encore : Valérie Dassonville.
Jonglage administratif : Ethan Marchand.
Relation avec les publics et les professionnels : Jérémy Verrier.
Photographie, graphisme et web : Bertrand Sampeur (Timor Rocks !)
Texte publié aux éditions Le bruit des autres (www.lebruitdesautres.com)
Écrit en résidence à la Chartreuse de Villeneuve-lès-Avignon, « La première fois que la nuit est tombée », bénéficie de l’aide à la production de la Direction régionale des affaires culturelles d’Île-de-France, du Conseil général de l’Essonne, du soutien de l’ADAMI et de l’association Beaumarchais-SACD et d’Artel 91. Avec le soutien du Bateau-Feu scène nationale de Dunkerque, du Théâtre de la Tête Noire de Saran, du centre culturel Boris Vian des Ulis, du Théâtre du Cloître de Bellac, de la Fabrique de Guéret, du service culturel des villes de la Norville et de Marcoussis, de la MJC de Chilly-Mazarin. Création : octobre 2007.
« La première fois que la nuit est tombée », deuxième opus de la trilogie « Trois utopies pour un désastre » , traite de la question religieuse telle qu’elle se pose aujourd’hui, de la montée des fondamentalismes, de la difficulté à questionner le divin en dehors des églises, de nos émerveillements« mal croyants“, de nos contradictions entre l’aspiration aux mythes et la rationalisation de notre pensée…
Au lieu de devenir plus vertueuse, comme les penseurs des Lumières l’avaient espéré, l’humanité devint si dépravée, si impure, que dieu remit une majuscule à son nom et vint nous achever, le glaive à la main et sa grande bouche de travers. Cela fit du bruit et des fracas, quelques plaies pour l’éternité. Enfin la paix reprit ses quartiers, et la lumière, et le temps. Les survivants survivaient ; ils se touchaient sans arrière-pensée, quelques diablotins broutaient entre les anges, un prophète se lavait les pieds dans sa propre salive…
— L’Evangile selon l’impie
Je voudrais faire spectacle des liens entre le divin et les hommes, partir du noir, des peurs primitives, des interrogations éternelles, et marcher sur les églises, faire mélange de l’intime et du prophétique avec des précautions de pelleteuse, jouer de l’image et du son comme d’une fanfare de mécréants !
Voir aussi : galerie photo de la création ; présentation de la compagnie
Pour visiter le site de la compagnie : www.theatre-de-bligny.com/trois-oratorios