Mais que fait Ernesto Timor dans cette galère sur ce plateau ? se demandent certains.
Compagnon de route de ces arts vivants et énervés, et plus particulièrement de ces gens de théâtre-là (parfois depuis de longues années…), je fais d’abord ici mon petit boulot au service du spectacle : visuel et communication de la manifestation, exposition de photographies de plateau et de création des quatre spectacles à l’affiche (ce sera dans le hall d’accès à la salle).
Et puis je présenterai des recherches plus personnelles, dans le fil de mes improvisations photographiques, comme des mises en scène par le photographe même… Dans le foyer du théâtre, accrochage de plusieurs projets :
- des fragments de L’Ouvreuse ;
- plusieurs mosaïques sérielles extraites des Libres parcours en marge, sorte de side-project en acte de la très contemplative série Les limites nous regardent ;
- enfin Les belles refusées : cette demi-douzaine de photographies en errance est aussi un clin d’œil aux débats iconographiques de la communication des spectacles (les affiches mélancoliques auxquelles vous avez échappé cette année…).
Plus de détails sur la page Volet photographique de la rubrique A l’affiche…
Expo en accès libre à l’occasion des représentations (environ de 19h à 23h ces soirs-là, se reporter au calendrier pour les dates), avec des moments forts à l’occasion des soirées spéciales (les 6 et 31 janvier : projections, déballage de livres d’artiste, nous verrons bien…).
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